La Droite a reconnu son échec pour ces cantonales. L'envie de constituer une majorité départementale avec divers éléments des autres groupes, a beaucoup diminué. Les représentants des différents courants de la Droite, réunis hier soir à Saint-Gilles, ont accepté de manière solidaire la responsabilité de la défaite.
Didier Robert, patron de La Réunion en confiance, Jean Simonetti également secrétaire départemental, René-Paul Victoria, député, David Lorion, conseiller régional… ont analysé d'une part les raisons de la faillite de la Droite, et les dysfonctionnements au sein de leur mouvement, qui ont également conduit à cet échec aux cantonales.
"Nous nous sommes tout dit, il n'y a pas eu de tabous”. De l'environnement dans lequel s'est déroulé la constitution de la liste La Réunion en confiance, au choix des candidats, à la réactions des uns et des autres à l'issue du premier tour, les cadres de la Droite présents, ont surtout montré une volonté de vouloir "tourner la page".
“Nous devons nous servir de ces cantonales pour nous recentrer sur nos valeurs, nos structures et préparer les échéances à venir”, a indiqué l'un des participants.
Didier Robert, patron de La Réunion en confiance, Jean Simonetti également secrétaire départemental, René-Paul Victoria, député, David Lorion, conseiller régional… ont analysé d'une part les raisons de la faillite de la Droite, et les dysfonctionnements au sein de leur mouvement, qui ont également conduit à cet échec aux cantonales.
"Nous nous sommes tout dit, il n'y a pas eu de tabous”. De l'environnement dans lequel s'est déroulé la constitution de la liste La Réunion en confiance, au choix des candidats, à la réactions des uns et des autres à l'issue du premier tour, les cadres de la Droite présents, ont surtout montré une volonté de vouloir "tourner la page".
“Nous devons nous servir de ces cantonales pour nous recentrer sur nos valeurs, nos structures et préparer les échéances à venir”, a indiqué l'un des participants.